Le blog de La gauche moderne fédération 92

Communiqué de Laurent HENART

Publication des chiffres du chômage : appel à un changement d'urgence de cap ! 

Alors que l’exécutif promettait une « inversion de la courbe du chômage » pour fin 2013, ce ne sont pas moins de 440.000 nouveaux demandeurs d’emploi depuis l’arrivée au pouvoir de Monsieur Hollande. Conséquence d’une gestion à l’aveugle, le Ministre du Travail, François Rebsamen table désormais sur une inversion de la courbe pour ….. 2015 !

Comment expliquer que dans le contexte de crise qui a touché toute l’Europe, nos voisins Anglais et Allemands voient leur économie repartir à la hausse lorsque nous restons loin derrière à la traine ?

Face à cet échec, j’appelle le gouvernement à changer d’urgence de cap ! Comme nous le demandons depuis des mois, il est impératif delancer des programmes ambitieux sur des secteurs économiques clés tels que la rénovation urbaine ou la transition énergétique, degarantir l’investissement des collectivités locales pour soutenir la croissance, et de mettre en place un plan massif en faveur de la formation en alternance et de l’apprentissage.

A partir du 16 et jusqu’au 22 juin 2014, nous, militants, sommes appelés à élire le nouveau président du Parti Radical. Et, ne nous trompons pas, l'enjeu de cette élection est majeur, car, clairement politique. 

Clairement politique, car en ce début de siècle, la France se trouve confrontée à des difficultés immenses qui affectent tous les ordres de la réalité qu’ils soient économique, politique et sociale. En face de ce « monde » en proie aux servitudes, aux injustices et fléaux de toutes sortes, nous ne devons pas nous résigner. Nous nous devons de rechercher et de proposer des solutions fiables et viables à nos concitoyens.

Plus ancien parti de France, le Parti Radical a toujours su incarner le parti de la réflexion et de l’espoir, de la volonté et de la construction. Croire en société « en mouvements respectueux de ses traditions », ne signifie pas être dépassé. Aujourd’hui encore,  n’en déplaise à certains, le Parti Radical sait faire entendre sa voix en proposant une voie pour une véritable alternative.

La compétition qui s’est engagée entre Laurent Hénart et Rama Yade, avait à mon sens un certain intérêt, car elle  permettait au Parti Radical d'enrichir sa réflexion,  ses idées, ses propositions, son projet politique et de les faire connaître.

Malheureusement, force est de constater, que la compétition se transforme plus ou moins en une « guerre civile », et de fait ; nous assistons  au développement d’un esprit clanique, nous constatons des « pratiques » pour le moins étonnantes. Je dois avouer, qu’a la différence de certains, je ne suis que peu ou prou surpris par la « méthode ». En effet, en 2012 à l’occasion des législatives sur la circonscription d’Asnières/Colombes, j’ai pu constater l’utilisation de la victimisation, du jeunisme,  de la démagogie et les attaques « niveau caniveau » et/ou « terres brulées ».  Pour clore sur ce chapitre, nous n’avons pas encore eu droit aux anathèmes et aux fatwas mais rassurons-nous cela ne saurait tarder.

Pour moi,le Parti Radical symbolise l’égalité des chances, la fraternité, la laïcité, la liberté et la justice sociale. Il est un parti de plein exercice, libre et indépendant. Indépendance, mise en œuvre par Jean-Louis Borloo et  que saura pérenniser Laurent Hénart.

Pour moi, Laurent Hénart est celui qui saura :

Défendreavec vigueur les valeurs radicales (de libéralisme humaniste, de justice sociale, de laïcité intransigeante, d’Europe fédérale).

Fédérerpour que nous rédigions ensemble un manifeste qui prendra en considération la réalité du XXIème siècle.

Rassemblerpour que le Parti Radical soit « le fer de lance du renouvellement du personnel politique au centre ».

Jean-Loup DUJARDIN

Vice–Président Fédération du Parti Radical des Hauts de Seine

Membre du Comité Permanent  de La Gauche Moderne                                                 En charge des relations avec les Syndicats / les partis Politiques et de la formation des militants

A partir du 16 et jusqu’au 22 juin 2014, nous, militants, sommes appelés à élire le nouveau président du Parti Radical. Et, ne nous trompons pas, l'enjeu de cette élection est majeur, car, clairement politique. 

Clairement politique, car en ce début de siècle, la France se trouve confrontée à des difficultés immenses qui affectent tous les ordres de la réalité qu’ils soient économique, politique et sociale. En face de ce « monde » en proie aux servitudes, aux injustices et fléaux de toutes sortes, nous ne devons pas nous résigner. Nous nous devons de rechercher et de proposer des solutions fiables et viables à nos concitoyens.

Plus ancien parti de France, le Parti Radical a toujours su incarner le parti de la réflexion et de l’espoir, de la volonté et de la construction. Croire en une société « en mouvements respectueuse de ses traditions », ne signifie pas être dépassé. Aujourd’hui encore,  n’en déplaise à certains, le Parti Radical sait faire entendre sa voix en proposant une voie pour une véritable alternative.

La compétition qui s’est engagée au sein du Parti Radical, avait à mon sens un certain intérêt, car elle  permettait au parti d'enrichir sa réflexion,  ses idées, ses propositions, son projet politique et de les faire connaître.

Malheureusement, force est de constater, que la compétition se transforme plus ou moins en une « guerre civile », et de fait ; nous assistons  au développement d’un esprit clanique, nous constatons des « pratiques » pour le moins étonnantes. Je dois avouer, qu’a la différence de certains, je ne suis que peu ou prou surpris par la « méthode ». En effet, en 2012 à l’occasion des législatives sur la circonscription d’Asnières/Colombes, j’ai pu constater l’utilisation de la victimisation, du jeunisme,  de la démagogie et les attaques « niveau caniveau » et/ou « terres brulées ».  Pour clore sur ce chapitre, nous n’avons pas encore eu droit aux anathèmes et aux fatwas mais rassurons-nous cela ne saurait tarder.

Pour moi,le Parti Radical symbolise l’égalité des chances, la fraternité, la laïcité, la liberté et la justice sociale. Il est un parti de plein exercice, libre et indépendant. Indépendance, mise en œuvre par Jean-Louis Borloo et  que saura pérenniser Laurent Hénart.

Pour moi, Laurent Hénart est celui qui saura :

          Défendre avec vigueur les valeurs radicales (de libéralisme humaniste, de justice sociale, de laïcité intransigeante, d’Europe fédérale).

·                           Fédérer pour que nous rédigions ensemble un manifeste qui prendra en considération la réalité du XXIème siècle.

          Rassembler pour que le Parti Radical soit « le fer de lance du renouvellement du personnel politique au centre ».

COMMUNIQUE DE LAURENT HENART du 7 avril 2014

Déclaration de politique générale du Premier Ministre : Rappel des priorités du Parti Radical

Lors des élections municipales, les Français ont envoyé un signal franc et massif au Président de la République : stop à la politique menée par le gouvernement depuis 22 mois ! Stop au matraquage fiscal! Stop à l’explosion du chômage.

Face à la clarté de ce message, on aurait pu attendre de François Hollande qu’il en tire les conséquences en rompant avec la politique menée par le précédent gouvernement. Au lieu de cela, le président de la République s’est contenté d’un remaniement a minima. En plus de l’arrivée de Manuel Valls à Matignon,- une personnalité isolée au sein même du Parti Socialiste-, les seuls « faits politiques » de la semaine ont été : la nomination de Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie vingt-deux ans après l’avoir quitté, le départ des Verts du Gouvernement et l’appel de Jean-Luc Mélenchon à la constitution d’une « opposition de gauche ».

C’est ce gouvernement plus « rafistolé » que remanié, à la recherche d’une majorité introuvable, qui doit désormais répondre à trois urgences :

L’urgence du chômage : après 22 mois de hausse continue, les ravages du chômage de masse font sentir leurs effets sur la société française et sur la démocratie. A cet égard, le Parti Radical rappelle la nécessité absolue d’investir massivement dans l’insertion professionnelle des jeunes, en développant l’apprentissage, notamment dans la fonction publique.

L’urgence de la compétitivité : en deux ans, la France a totalement décroché par rapport à ses concurrents. En témoigne le creusement abyssal de son déficit commercial. Pour le Parti Radical, le Gouvernement doit impérativement diminuer les charges pesant sur les entreprises, notamment sur les PME, tout en suscitant la création de champions industriels sur de grands secteurs stratégiques comme : les véhicules propres, les énergies renouvelables, l’agriculture biologique, les réseaux électriques intelligents, les infrastructures de transport, le recyclage ou le traitement de l’eau.

L’urgence des finances publiques : Pour respecter la parole donnée à ses partenaires européens et recouvrer sa souveraineté budgétaire, la France doit mener les réformes structurelles nécessaires pour économiser 50 milliards d’euros d’ici 2017, tout en allégeant la pression fiscale qui pèse sur les Français.

Le Parti Radical sera très attentif à la déclaration de politique générale du Premier Ministre devant l’Assemblée Nationale ce mardi.

Par esprit de responsabilité et par fidélité à ses traditions, le Parti Radical entend s’inscrire dans le droit fil de « l’opposition constructive » qu’il mène, avec ses partenaires de l’UDI, depuis juin 2012, faite de vigilance et d’ouverture. S’il s’opposera avec fermeté à toutes les fausses solutions socialistes, le Parti Radical ne refusera jamais de dialoguer et de travailler avec tous ceux qui le souhaitent, au redressement de la France et à l’affermissement de la République.

Laurent Hénart

Secrétaire général du Parti Radical