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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 17:36

L'annonce du retrait de Jean-Louis Borloo de la vie politique le temps de sa convalescence est une épreuve pour l'UDI.

Notre affection l'accompagne et nous souhaitons ardemment que les mois qui viennent permettent au fondateur de notre famille de retrouver sa pleine forme, afin de poursuivre selon les modalités les plus appropriées son engagement au service des français.

Dans les temps difficiles que traverse notre pays nous avons conscience du devoir et des responsabilités qui pèsent sur les dirigeants de la 3eme famille politique de France.

A l'heure où s'approchent des échéances majeures pour la France nous savons qu'il est de notre devoir de garantir l'unité et la pérennité de l'UDI.

Notre comité exécutif qui était convoqué ce mardi 8 avril aura donc pour tâche de désigner une organisation de transition afin d'assurer le fonctionnement du parti en particulier pour la campagne européenne et d'organiser le congrès appelé à désigner le successeur de Jean-Louis Borloo à la tête de l'UDI.

En tout état de cause le Conseil national programmé en juin prochain validera le calendrier du renouvellement démocratique de nos instances.

Momentanément privé de la présence de Jean-Louis Borloo, l'UDI poursuivra donc, en s'inspirant de son exemple, son enracinement dans la vie politique française afin de répondre aux attentes de renouveau de nos compatriotes.


Yves JégoDélégué général
Hervé MorinPrésident du Conseil national de l'UDI
Jean-Christophe LagardeSecrétaire général

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28 mars 2014 5 28 /03 /mars /2014 23:58

Parce que je suis un des membres fondateurs de l’UDI nationale, (Membre fondateur de La Gauche Moderne ; Membre du Comité permanent de La Gauche Moderne ; Coordinateur départemental de La Gauche Moderne ; Membre du Conseil national de l’UDI, Membre du Bureau départemental  de l’UDI)

Parce que l’UDI et le MoDem sous l’égide de F Bayrou (Président du MoDem) et de Jean-Louis Borloo  (Président de l’UDI) ont défini l’Alternative,

Parce que les composantes de l’Alternative ont décidé de faire des propositions communes pour les échéances électorales (Municipales, Européennes)  

Parce que l’UDI avait entériné l’idée qu’au premier tour, les militants et/ou les responsables d’Asnières pouvaient proposer aux Asniérois un projet porteur de l’Alternative :

J’ai fait campagne pour et avec la liste « Au centre de notre ville ».

Parce qu’avec cette liste Centriste nous avons présenté un projet de vie aux Asniérois qui dépassait clivages et oppositions stériles droite – gauche.

Parce qu’avec des colistiers issus de tous les quartiers, « Au centre de notre ville » a défendu les idées d’un mieux vivre ensemble, d’un habitat plus adapté …

 Mais :

Parce qu’au soir du premier tour la tête de liste « Au centre de notre ville a refusé les mains tendues de deux autres listes,

Parce qu’au soir du premier tour la tête de liste « Au centre de notre ville » sans aucune concertation a décidé de « fusionner » avec le P.S.

Parce qu’au soir du premier tourde ces élections Asniéroises le MoDem local  a décidé de faire scission du pacte national de l’Alternative  (Union F Bayrou et JL Borloo)

 Parce qu’au niveau national l’UMP et l’UDI ont décidé l’Union pour le deuxième tour des municipales

Parce que mon intérêt personnel n’a jamais eu  d’incidence dans aucun de mes engagements (Associatif, syndicaliste et politique)

Parce que l’intérêt général a toujours prévalu sur mes décisions

Parce que je n’ai jamais eu l’intention de négocier quoique ce soit

Parce que je reste fidèle à ma démarche Citoyenne, Centriste et Politique 

Parce que …..

C’est pourquoi, j’ai appelé à voter la liste d’union UMP/UDI au deuxième tour

 

Dans le cadre de ces élections, prenant en considération tous ces éléments, j’estime avoir largement expliciter mes idées et engagements. Par conséquent,  je ne répondrais plus à aucune attaque personnelle.

 

Jean-Loup DUJARDIN

 

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 18:05

Parce que dans un monde secoué de crises (économiques, sociales, écologiques, etc.), il y a urgence de changer individuellement et collectivement nos façons d'agir.

Parce que l’heure est plus que jamais aux synergies et actions communes,

Parce que nous devons passer des paroles aux actes,

Parce qu’il nous faut construire notre avenir plutôt que le subir.

Parce que je crois à une vie politique autre, tournée vers les attentes de tous les citoyens.

 

J’ai décidé de m’engager sur la liste « Au centre de ville », car comme beaucoup d’entre vous je faisais un constat simple et factuel: Notre ville n’a que trop souffert des oppositions stériles gauche-droite!

Mais aussi, comme j’ai pu l’écrire à Jean-Louis Borloo en Septembre 2013. Parce qu’en tant que Citoyen-Militant, j’estimais qu’il fallait que le Centre MoDem-UDI l’Alternative soit présent pour les municipales

 

Tout au long de la campagne, j’ai pu constaté que les différents listes arguaient différents concepts politiques, mais en aucun cas ils ne proposaient des projets précis et pragmatiques.

 

Pour certains ils manquaient de culture d'entreprise et de vision globale pour l'emploi l’économie et l’insertion ! Pour d’autres ! Ils n’abordaient que peu ou prou la diversité culturelle, la solidarité, le logement et autres réalités de notre quotidien.

 

Nous tranquillement et sereinement, nous allions a votre rencontre et nous nous autorisions à vous expliciter notre différences sans dire que l’autre étaient..

 

Sans polémiques ou agressions spécialités de certains représentants la droite et ce revendiquant de l’udi.

 

Nous membres de «Au centre de notre ville» nous nous singularisons par le fait que nous faisons partie d’une Équipe :

• Une Équipe qui représente l'Alternative,

• Une Équipe rassemblant des femmes et des hommes qui savent ce concentrer sur les vrais enjeux, que sont entre autres : l’éducation, la sécurité, l’emploi, l’habitat …

• Une Équipe qui veut qu’Asnières soit une ville plus solidaire, une ville sûre de ses atouts, une ville fière de ses talents, • Une Équipe qui fondent ses propositions sur la vérité plutôt que sur les slogans.

• Une équipe fière de sa diversité et de la diversité Asniéroise

• Une équipe qui veut réduire les fractures sociales et géographiques. Avec des colistiers issus de tous les quartiers,

 

« Au centre de notre ville » est la seule liste qui soit véritablement une équipe et au CENTRE.

C’est la force de notre Équipe!

Si vous décidez de voter pour nous, sachez nous saurons la valoriser tout au long de notre mandat cette diversité qui est notre/votre force.

C’est vous simplement vous.

 

L’ambition collective de l’Équipe « Au centre de notre ville » est de proposer aux Asniérois une véritable alternative politique.

« Au centre de notre ville » est le rassemblement de femmes et d’hommes qui savent ce concentrer sur les vrais enjeux, que sont :

- l'éducation, comme fondement de notre République,

- l'emploi, comme priorité d'insertion,

- la solidarité, comme outil de cohésion sociale,

- la santé, pour tous et chacun,

- la justice, comme socle de l'égalité,

- la sécurité, comme garant du vivre ensemble,

- l’humanisme, comme certitude de vérité et de sincérité, d’harmonie et d’équilibre,

- l’Europe fédérale, comme rempart des abus de la mondialisation.

 

C’est pourquoi, je vous invite à participer à la construction d’une force politique centrale dont Asnières a besoin.

 

Force qui a : « Le courage de ses convictions et la volonté de fixer un cap collectif pour tous et chacun. »

 

« Au centre de notre ville » est la seule liste qui vous propose un programme, http://issuu.com/asnieres2014/docs/le-programme-asnieres-2014-2020-hd/0, qui corresponde à notre quotidien et a nos attentes.

 

ALORS, pour qu’enfin l’alternative, la Créativité, le pragmatisme, l’indépendance et l’Humanisme soit réalité a Asnières Faites comme moi… Dimanche, je vote Blanche

 

Jean-loup DUJARDIN

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 18:02

Parce que dans un monde secoué de crises  (économiques, sociales, écologiques, etc.), il y a urgence de changer individuellement et collectivement nos façons d'agir.

Parce que l’heure est plus que jamais aux synergies et actions communes,

Parce que nous devons passer des paroles aux actes,

Parce qu’il nous faut construire notre avenir plutôt que  le subir.

Parce que je crois à une vie politique autre, tournée vers les attentes de tous les citoyens.

 

J’ai décidé de m’engager sur la liste  « Au centre de ville », car comme beaucoup d’entre vous je faisais un constat simple et factuel: Notre ville n’a que trop souffert des oppositions stériles gauche-droite!

Mais aussi, comme j’ai pu l’écrire à Jean-Louis Borloo en Septembre 2013. Parce qu’en tant que Citoyen-Militant, j’estimais qu’il fallait que le Centre MoDem-UDI l’Alternative soit présent pour les municipales

 

Tout au long de la campagne, j’ai pu constaté que les différents listes arguaient différents concepts politiques, mais en aucun cas ils ne proposaient des projets précis et pragmatiques. Pour certains ils  manquaient de culture d'entreprise et de vision globale pour l'emploi  l’économie et l’insertion ! Pour d’autres ! Ils n’abordaient que peu ou prou la diversité culturelle, la solidarité, le logement et autres réalités de notre quotidien.

 

Nous tranquillement et sereinement, nous allions a votre rencontre et nous nous autorisions à vous expliciter notre différences sans dire que l’autre étaient.. Sans polémiques ou agressions spécialités de certains représentants la droite et ce revendiquant de l’udi.  

 

Nous  membres de «Au centre de notre ville» nous nous  singularisons par le fait que nous faisons partie d’une  Équipe :

 

Une Équipe qui représente l'Alternative,

Une Équipe qui à le courage de ses convictions et la  volonté d'oeuvrer pour et avec tous les Asniérois,

Une Équipe rassemblant des femmes et des hommes qui savent ce concentrer sur les vrais enjeux, que sont entre autres : l’éducation,  la sécurité, l’emploi, l’habitat …

Une Équipe qui veut qu’Asnières soit une ville plus solidaire, une ville sûre de ses atouts, une ville fière de ses talents,

Une Équipe qui fondent ses propositions sur la vérité plutôt que sur les slogans.  

Une équipe fière de sa diversité et de la diversité Asniéroise

Une équipe qui  veut réduire les fractures sociales et géographiques.

 

Avec des colistiers issus de tous les quartiers, « Au centre de notre ville »  est la seule liste qui soit véritablement une équipe et au CENTRE. C’est la force de notre Équipe! Si vous décidez de voter pour nous, sachez nous saurons la valoriser tout au long de notre mandat cette diversité qui est notre/votre force. C’est vous simplement vous.

 

L’ambition collective de l’Équipe « Au centre de notre ville » est de proposer aux Asniérois une véritable alternative politique.« Au centre de notre ville » est le rassemblement de femmes et d’hommes qui savent ce concentrer sur les vrais enjeux, que sont :

 

- l'éducation, comme fondement de notre République,

- l'emploi, comme priorité d'insertion,

- la solidarité, comme outil de cohésion sociale,

- la santé, pour tous et chacun,

- la justice, comme socle de l'égalité,

- la sécurité, comme garant du vivre ensemble,

- l’humanisme, comme certitude de vérité et de sincérité, d’harmonie et d’équilibre,

- l’Europe fédérale, comme rempart des abus de la mondialisation.

 

C’est pourquoi, je vous invite à participer à la construction d’une force politique centrale dont Asnières a besoin. Force qui a :

« Le courage de ses convictions et la volonté de fixer un cap collectif pour tous et chacun. »

 

« Au centre de notre ville » est la seule liste qui vous propose un programme,  http://issuu.com/asnieres2014/docs/le-programme-asnieres-2014-2020-hd/0, qui corresponde à notre quotidien et a nos attentes.

ALORS, pour qu’enfin l’alternative, la Créativité, le pragmatisme, l’indépendance et l’Humanisme soit réalité a Asnières Faites comme moi… Dimanche, je vote Blanche

 

Jean-loup DUJARDIN

 

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 18:12

 

Le sentiment d’insécurité des populations en France, est devenu une réalité omniprésente dont le développement s’est progressivement détaché de celui de l’insécurité à proprement parler.

 

Ainsi la perception qu’ont les Asnierois de l’insécurité, tant qualitativement que quantitativement, ne coïncide que peu ou prou avec la réalité des risques en la matière. Cependant, cette perception agit sur notre réalité quotidienne et a contribué à la faire évoluer telle que nous la connaissons aujourd’hui.

 

Le développement de ce différentiel entre perception et réalité a, depuis plusieurs années, contraint les acteurs locaux à envisager différemment les actions à mettre en place pour répondre, avec cohérence à ces deux aspects de l’insécurité.

 

Il ne s’agit plus aujourd’hui de se limiter à ne traiter que les faits et leurs origines mais également de gérer les perceptions des individus se sentant concernés.

 

Pour s’en convaincre, il suffit, de prendre en considération différents diagnostics qui ont fait apparaître un constat et une méthode d’action :

 

  • un effet ciseaux produit par le resserrement de deux tendances que sont l’accroissement des faits générateurs d’insécurité et la diminution du seuil de tolérance des populations,
  • la nécessité d’engager un processus de partenariat opérationnel impliquant tous les acteurs et créant une nouvelle dynamique sur le territoire de la commune.

 

          Ainsi et de fait, en matière de sécurité, il nous faut travailler sur le triptyque :

Prévention - Dissuasion – Répression

          Triptyque, indissociable, garant de  cohésion sociale, d’harmonie et d’équilibre dans notre vie quotidienne ;

 

 

Un des piliers incontournable de ce triptyque s’avère être la Prévention.  Pour lutter contre l’augmentation de la petite délinquance,

 

 

         Toutefois, la prévention se trouve au centre de moultes réflexions, attentes, voire exigences. Aujourd’hui, la prévention ne peut plus se contenter d’une pseudo « thérapie compensatoire » colmatant tant bien que mal, au « coup par coup », les « situations critiques ». Elle se doit d’agir en amont, en ayant une approche transversale et systémique permettant ainsi d’éviter l’aggravation des risques sociaux, environnementaux et psychologiques, et de mettre en œuvre des interventions visant la résolution des processus d’exclusion sociale.

 

Et, nous assistons souvent, trop souvent, à une tendance qui consiste à minorer la notion de prévention en l’assignant à un sens simple et équivoque – « délinquance » - évitant ainsi de prendre en considération les champs multiples de son intervention, sa dimension globale et limitant parfois son rôle.

 

Toutefois, force est de constater que définir la prévention n’est pas chose facile. C’est pourquoi, afin d’avoir un langage « commun » permettant de définir ce qu’est la prévention, j’ai retenu, synthétiquement et schématiquement, trois approches admises et appropriées par l’ensemble des acteurs  de la prévention :

 

  • La prévention primaire (générale) : qui tend à s’attaquer aux innombrables facteurs d’inadaptation
  • La prévention secondaire (ciblée - partielle) : dont l’objectif est la lutte contre l’aggravation et l’extension des troubles
  • La prévention tertiaire (curative) : dont l’objectif est la réinsertion, la lutte contre la récidive, le soin thérapeutique…

 

Les acteurs locaux, selon la population concernée (en difficulté, « à risque », sans symptômes apparents,…) mettent dès lors en œuvre :

 

  •  soit un accompagnement social, souple et ponctuel, favorisant l’insertion dans la vie de la cité,
  • soit des actions s’appuyant sur l’accompagnement, l’orientation, la guidance visant à faciliter le lien social et, par là même, le maintien dans la « vie sociale »
  • soit un suivi socio-éducatif nécessitant une mobilisation massive, à court, moyen et long termes, permettant la réinsertion au sein de la « communauté urbaine ».

 

La prévention se doit être le résultat d’une démarche volontaire qui repose sur la prise en compte de  la mixité sociale qui a toujours été une caractéristique essentielle de notre pays (n’en déplaise à certains) , et ce , en faisant en sorte que cette mixité soit un facteur d’harmonie et non de fracture sociale.

 

L’objectif d’une politique de prévention adaptée, à chaque commune, consiste ; à lutter contre le sentiment d’insécurité, à renforcer le lien social, urbain et économique, à résorber les déficits enregistrés (citoyenneté, morale, autorité, etc.) sur le terrain, à lutter contre l’exclusion sociale et urbaine, à développer  des actions en faveur de la vie citoyenne et de l’accès au droit…

Pour ce faire, la prévention doit s’appuyer   sur des diagnostics, des analyses, des suivis concrets et des évaluations systématiques et ce, en cohérence avec l’ensemble de ses orientations tant locales que nationales .

Il faut également, que l’ensemble de nos « politiques » conscientisent que la prévention s’inscrit dans un espace temps plus long que celui du temps électoral . Et qu’il ne s’agit plus  de faire des déclarations intempestives mais d’expliciter que les évolutions de notre société, de prendre en considération les besoins de nos concitoyens. C’est à quoi nous nous engageons en réformant la politique de prévention et en mettant en œuvre des actions pertinentes à la réalité des quartiers et d’Asnières dans son ensemble.

 

Jean-Loup DUJARDIN

 

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 15:42
La liste « Au centre de notre ville  » conduite par Blanche Mühlmann rassemble des Asniérois de toutes origines, femmes et hommes, jeunes et plus âgés, travailleurs et retraités, employés du public et salariés du privé, entrepreneurs et artisans locaux, tous mobilisés pour construire l’avenir et entraîner Asnières, dès demain, dans la modernité.
Cette diversité de parcours et de compétences reflète la richesse culturelle, sociale et professionnelle de notre ville. Elle est gage de réussite pour notre projet d’alternative citoyenne et indépendante, sous le signe du pragmatisme et de l’efficacité.

Une force collective, un engagement pour la diversité !
" Face aux logiques partisanes et politiciennes, il était fondamental que la composition de notre liste reflète ces les valeurs de diversité et de rassemblement pour Asnières que nous défendons au travers de notre projet ",explique Chantal-Bitton Cohen, maire-adjoint sortant et colistière. Entre des élus sortants donc et des citoyens issus de la société civile, la liste « Au centre de notre ville » combine expérience et créativité, pragmatisme et audace. " Ce mélange culturel et socio-professionnel est un atout qui nous a permis de construire un projet à la fois complet et en phase avec la réalité des Asniérois", complète Hadrien Laurent, directeur de la campagne et jeune actif, symbole d'une génération nouvelle qui s'engage pour sa ville.
" Notre force réside dans ce collectif, sa solidarité et sa complémentarité. C'est cet élan qui nous a porté durant toute la campagne, plus celle-ci avance, plus les retours positifs des Asniérois abondent et plus nous sommes convaincus que notre esprit d'équipe trouvera un large écho au soir du premier tour ", conclut Blanche Mühlmann.
Venez donc découvrir la liste « Au centre de notre ville » et surtout, n'oubliez pas, les dimanche 23 et 30 mars prochains, je vote Blanche !





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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 17:15

L’exclusion sociale n’est certes pas nouvelle dans l’histoire de l’humanité et de notre société. Aujourd’hui, elle s’avère être tant  un malaise social endémique qu’un  phénomène exponentiel et omniprésent.

Mais, lorsque l’on tente de définir ce qu’est ou peut être l’exclusion sociale, force est de constater qu’il n’y a pas une définition mais plusieurs, car nous nous trouvons face à des problématiques multidimensionnelles et à des processus multifactoriels.

Problématiques multidimensionnelles car elles abordent des champs d’intervention sociale fondamentaux et variés, qu’ils soient repérés ou repérables (Emploi, Santé, Logement, Education, Formation, Chômage, Prévention, Toxicomanie, Violence, etc.).

Processus multifactoriels car ils mettent en exergue des paramètres divers et des groupes plus au moins ciblés (Famille, Jeunes, Personnes Agées, Handicapés moteurs, Inadaptés mentaux, Déviants, Marginaux,  Délinquants, etc…). 

Dés lors, nous  pouvons dire qu’il n’y a pas une exclusion sociale, mais des exclusions, et que, de fait, il n’y aurait pire erreur que de vouloir « traiter également des choses inégales ».

Et, si il est vrai qu’au cours de ces dernières décennies, l’exclusion sociale a été,  au centre de moults débats, réflexions et décisions qui furent dans certains cas porteurs d’espoirs et dans d’autres particulièrement adaptés. Il est tout aussi exact, que  les actions engagées n’ont, que peu ou prou, étaient assujetties à des évaluations systémiques (vérifiant la pertinence, l’adéquation des réponses misent en œuvre et les besoins enregistrés sur le terrain), et se réalisent et s’effectuent toujours dans des cadres intégrant la notion de catégorie « de handicaps et d’inadaptations » voire de paix social.

Mais, est peu être plus grave car régulièrement dénier souvent, trop souvent,   l’exclusion sociale s’est avérée, s’avère être la mauvaise conscience des uns, l’alibi d’autres, mais aussi, dans certains cas, un moyen de pression sociale - politique totalement niée.

Car  visible dans le quotidien, l’exclusion  nous renvoie constamment une image interrogative de notre intervention sociale, et des réponses sociétales que nous mettons en place pour tenter de la résoudre. De fait, aujourd’hui, force est de constater que nous ne pouvons faire l’économie d’une approche transversale de l’exclusion sociale.

Cette dernière se doit, de passer par la prise en compte des aspects multidimensionnels et multifactoriels de l’exclusion, et nécessite une évaluation sans complaisance de l’action sociale.

Car, l’action sociale s’est, pendant de longues années voire encore aujourd’hui, traduite par un émiettement des diverses formes d’exclusion entre plusieurs administrations et collectivités territoriales souhaitant garder leurs prérogatives d’actions (pré carré bien établi). Ce qui, dans certains cas, (qui n’a pas d’exemple ?), a provoqué des « No Man’s Land » de prises en charges sociales, de situations relevant ou étant à la limite de plusieurs institutions.

Certes, résultat de la conscientisation, des pressions et des prises en considération des analyses faites par des acteurs de terrain, des lois furent votées  recherchant une certaine cohésion en matière d’actions sociales visant à : 

 

  • Une légitimation de son application,
  • Une reconnaissance sociétale de son « intervention »,
  • Une approche se voulant logique et dans une dynamique du pour et avec la population à qui elle s’adresse.

 

Mais, il nous faut bien admettre que malgré ces conscientisations et ces lois, l’action sociale nous est toujours présentée, non pas en rapport à sa finalité de lutte contre les exclusions, mais à un cadre de référence.

En effet, pour les professionnels, il y a ce qu’est ou pourrait être l’action sociale (permettre à l’handicapé, l’inadapté, au déviant, de vivre, de s’insérer, de réinsérer au mieux dans la vie de la cité), et ce qu’elle ne saurait être (des opérations plus ou moins ponctuelles n’ayant que peu de prise avec la réalité des populations concernées).

Pour les politiques, il y a ce que doit, pourrait être, l’action sociale en tenant compte de leurs dimensions propres (engagement pris, pressions de la population, réalité politique,  mandats électifs…).

De fait, l’action sociale se trouve être la cible privilégiée d’une réflexion critique tant par des décideurs que par les professionnels, voire les bénéficiaires. Et ce, étant généralement dû à une présentation imprécise des finalités et d’une absence de communication pourquoi telle actions plutôt qu’une autre et  d’explicitations de l’intervention, qu’elles soient spécifiques, ciblées ou globales à court, moyen, et long terme.


Dés lors, et sans démagogie, avec le recul réflexif nécessaire  nous pouvons dire que :

 

  • d’une part que l’action sociale a hérité d’éléments historiques non négligeables qui la rendent que partiellement apte à répondre de façon pertinente aux exigences de la réalité des difficultés sociales de ce début de siècle.
  • d’autre part, nous constatons que rares sont les acteurs locaux et nationaux  capables d’expliciter précisément la philosophie de l’action sociale qui repose à notre avis sur trois niveaux distincts et indissociables, à savoir :
    • Le soin thérapeutique qui a pour objectif d’amener l’individu ou les personnes vers une « guérison »,
    • L’approche préventive qui se veut dépister, éviter, prévenir l’aggravation du mal, en mettant les outils les plus adaptés, adéquats, à la « disposition » des populations concernées,
    • L’aspect promotionnel qui lui se doit de veiller à l’amélioration de la condition humaine.

 

De fait, et nous le voyons bien, l’exclusion sociale pose le problème de la différence. Car, nous sommes renvoyés au problème du similaire et du singulier, du microcosme et du macrocosme.

La réalité de l’exclusion sociale, de la ségrégation urbaine voire de la discrimination nous oblige à prendre en compte la notion d’autonomie sociale. Généralement, un être autonome est celui qui est capable de faire des choix dans un espace de contraintes dans un cadre social donné et par la même de devenir un acteur de sa propre vie.

Les manifestations des exclusions se présentent, se jouent, en majeure partie, dans la non-insertion :

 

  • Non-insertion professionnelle,
  • Non-insertion dans un cycle de formation,
  • Non-insertion dans un quartier,
  • Non insertion dans …

 

Et nous constatons que ce qui n’est pas supporté et admis dans l’exclusion sociale, c’est la non-intégration aux divers dispositifs existants.

Aujourd’hui, l’évolution constante de la société entraîne de profondes mutations auxquelles nous nous devons de répondre. Cela signifie que, si nous admettons l’existence de besoins croissants en matière de lutte contre l’exclusion sociale, nous ne pouvons faire l’économie de les définir précisément, de les évaluer avec méthode, de définir des modes opératoires de fonctionnement, de mettre en œuvre des orientations, des axes d’intervention adapté à la réalité et par la même, de nous donner de véritables moyens pour que la lutte contre toute forme d’exclusion soit une entité globale tenant compte des spécificités.

Tirer partie des différences, des potentialités, du temps, pour parvenir à une harmonisation des réponses qui permettront d’insérer, de réinsérer les exclus, tel est le pari qui s’offre à nous.

C’est dans cet esprit qu’il nous faut avoir un véritable volontarisme républicain mettant en œuvre une action sociale évitant les saupoudrages et les visions angéliques, répondant véritablement aux besoins, s’adaptant aux mutations sociétales, ne générant plus elles-mêmes des processus d’exclusion et de ségrégation, acceptant le suivi, le contrôle et les évaluations.

Soyons aussi visionnaire que nos prédécesseurs, entre autres :

 

  • Monsieur La Rochefoucauld Liancourt, président du Comité de la mendicité en 1790 qui écrivait :

 

« On a toujours pensé à faire la charité aux pauvres, et jamais à faire valoir les droits de l’Homme pauvre sur la société et ceux de la société sur lui. L’organisation de l’assistance doit être prévue dans la constitution. La bienfaisance publique n’est pas une vertu compatissante, elle est un devoir, elle est la justice. Là où existe une classe d’hommes sans subsistance, là existe une violation des droits de l’humanité : l’équilibre social est rompu ».

 

  • Monsieur De Barère, qui au nom du Comité de salut public, déclarait devant la Convention (portant sur le droit des pauvres à la « bienfaisance nationale ») du 22 mai 1794 :

 

« Oui, je parle de leurs droits, parce que dans une démocratie…tout doit tendre à élever le citoyen au-dessus du premier besoin par le travail s’il est valide, par l’éducation s’il est enfant, par le secours s’il est invalide ou dans la vieillesse ».

 

Jean-Loup DUJARDIN
Membre du Comité Permanent 
Coordinateur Fédération des Hauts de Seine
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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 21:42

Depuis plusieurs semaines, bien qu’ayant beaucoup à dire tant en matière politique (générale, locale et/ou interne à l’UDI) qu’économique et sociale, je me suis astreins à ne rien rédiger sur le blog de la fédération ni celui d’Asnières voire a être particulièrement  laconique sur le mien.

Ce silence, non point dicté par je ne sais quel « conseil », a été, semble-t-il, analysé par certains comme révélateur de faiblesse. Une fragilité, oui mais physiologique (saleté de maladie nosocomiale), et, dommage pour  ceux qui « s’autorisaient » des interprétations loufoques  à mon encontre, il ne s’agissait que d’un silence réparateur et thérapeutique (à la fois introspectif et prospectif).

Toutefois, dernièrement quand un postulant Maire «AD = Ancré à Droite » (je l’ai surnommé comme cela) a débité ses inepties intellectuelles contre La Gauche Moderne, le fondateur, responsable et militant de ce parti que je suis, a senti la moutarde lui monter au nez (très mauvais pour la santé).

J’aurais pu lui crier (dans sa trompe de grosse tache) : « Hé du c… biiiiiip (pas de gros mots à cause des zenfants, c’est banni à la maison donc du coup dans ce billet aussi), pour une fois dans ta vie tu peux éviter de raconter des c…….et  savoir de quoi tu parles ».

Néanmoins, après réflexion, j'ai préfèré réveiller le « dormeur » (oh oh se  disent les proches… aux abris) et  reprendre la « plume » que je n’avais pas quitté mais mis au service de ma candidate tête de liste  de « Au centre de notre ville » (je vous en parlerez plus longuement dans d’autres billets).

Mais, aujourd’hui je reviens au postulant (qui n’est pas humble) « Ancré à Droite », qui, dans un de ses documents de campagne, écrit "être en mesure de doubler les emplois sur Asnière". Moi, dans ma grande naïveté me disant enfin une bonne nouvelle (dans ce monde de brute et de chômage endémique), j’interroge « Ancré à Droite » : comment ?, public ou privé ?,  et surtout ,pourquoi quant on a la « recette » du doublement de l’emploi, on ne  la partage pas avec les représentants du peuple et  de l’Etat (qui depuis plusieurs  décennies cherchent désespérément des « recettes » pour faire baisser le chômage) ? .   

Comment !!! Répond, « Ancré à Droite » vous avez l’outrecuidance de me poser des questions cela signifie donc que La Gauche Moderne n’en a que faire de l’emploi a Asnières. Méthodes et pratiques bien connues, je ne sais pourquoi elles m’interpellent toujours et je les combats de plus en plus. Alors, moi plutôt que de polémiquer avec «  Ancré à Droite », je vais donner la position politique de La Gauche Moderne sur un sujet aussi complexe que l’Emploi.

Pour La Gauche Moderne, toute politique économique doit favoriser la croissance pour l’emploi.  C’est la croissance qui tire l’emploi, et il faut donc mettre la France en situation de croissance et mette en œuvre la flexisécurité

 

La flexisécurité, parce qu’elle répond aux exigences de performance économique et de justice sociale en permettant à la fois de donner aux entreprises la souplesse, condition de leur compétitivité, et aux salariés la sécurité nécessaire à une vie sereine, doit être le socle du modèle économique et social.

 

Facteur d’autonomie, le travail est aussi un élément essentiel de l’estime de soi et de la construction de l’identité individuelle. Il joue un rôle capital dans la création et le maintien du lien social, l’insertion qu’il permet demeurant la pierre angulaire de la lutte contre la précarité et l’exclusion.

C’est pourquoi, il faut protéger l’emploi plutôt que protéger le salarié.  La rupture du contrat de travail est une nécessité pour la vie des entreprises.  Plutôt que rendre difficile cette tâche, ce qui décourage l’embauche, en particulier de personnels perçus comme à risque (jeunes, seniors), il convient, par une flexisécurité à la française, d’accompagner efficacement le demandeur d’emploi.

 

Pour lutter contre la précarité nous proposons de refonder un contrat unique qui facilitera l’intégration des jeunes dans les entreprises, diminuera les risques d’abus, facilitera l’embauche en offrant un cadre juridique plus simple.

 

Permettre une sécurité accrue en cas de mobilité, comme lors des périodes de chômage, avec le transfert de certains droits, notamment de formation, d’une entreprise à une autre. Un « compte mobilité » pourrait apporter à chacun des garanties quelles que soient les variations de sa situation professionnelle. Permettre un meilleur retour à l’emploi, plus rapide doit être un objectif prioritaire, sachant que la gravité, tient moins dans la perte d’emploi que dans la difficulté à un trouver un nouveau, dans l’installation prolongée dans le chômage.

 

La formation continue doit servir à tous (particulièrement aux demandeurs d’emploi, aux salariés de PME, aux personnes non qualifiées) et non à ceux qui en ont le moins besoin. L’utilisation des dizaines de  milliards d’euros qui y sont consacrés pourrait être considérablement améliorée, si la collecte était mutualisée, et si un contrôle rigoureux sur les organismes de formation (relevant notamment des acteurs sociaux) et les formations dispensées avaient lieu. La formation est un atout essentiel, et la formation tout au long de la vie, doit dépasser le stade du slogan pour devenir une réalité concrète, largement utilisée. 

 

La réforme de réduction du temps de travailpeut être reprise. Le temps partiel choisi doit devenir un droit, à négocier dans l’entreprise et être développé, quand on sait que près de deux millions de personnes travaillant à temps plein souhaitent travailler à temps partiel, au moins autant que l’inverse.

 

Diminuer le coût du travail pour relancer la croissance est une nécessité, comme le montre notre différentiel de compétitivité par rapport à l’Allemagne. Pour favoriser la croissance, il faut aussi un Etat responsable et  un contribuable responsable.  L’Etat et les collectivités doivent donc renforcer leurs efforts d’efficacité pour diminuer les dépenses, et en parallèle les contribuables doivent s’acquitter de leurs impôts: lutter contre les fraudes des citoyens et des entreprises doit être un objectif civique.

 

Le Plan, outil de prospective et d’orientation des investissements publics et privés doit être recréé pour impulser la transformation de notre économie vers les industries de demain.

 

L’État doit favoriser et accompagner les investissements dans les secteurs d’avenir, et dans les secteurs liés à la protection de l’environnement (logement, transports, énergie) qui contribueront à la protection de la planète tout en étant source de très nombreuses créations d’emplois.  Les charges sociales pesant sur les entreprises doivent être  révisées. Certaines peuvent être basculées sur la valeur ajoutée des entreprises, au lieu d’être liées aux salaires, ce qui pénalise les entreprises de main d’œuvre.

 

La Gauche Moderne, a pour objectif de mettre en œuvre une politique de réforme Juste. C’est pourquoi,  en matière d’emploi ses analyses, réflexions et propositions reposent sur le réalisme  plutôt que sur la démagogie

 

Les français comme les asniérois en ont « ras la casquette » du baratin et de la démagogie.

 

 

A bientôt ,  si vous le voulez bien  

 

Jean-Loup DUJARDIN

Membre du Comité Permanent

Membre du BP et du CN

Coordonnateur de la fédération 92 

 

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 15:08

A l'aube de cette nouvelle année, je souhaite :

 

Que 2014, soit source de lumière et d’Amour,

Que 2014, réalise les souhaits et rende réalité les projets les plus secrets,

Que 2014, donne du courage et du sens quant aux engagements pris,

Que 2014, permette que le mot « partage » court sur les lèvres et que les mains se tendent pour s’étreindre,

Que 2014, soit source de volonté pour que nous puissions réussir à faire que personne ne soit oublié sur le bord du chemin, 

Que 2014, permette à chacun d'avoir la santé car sans elle rien n'est possible, 

Que 2014, soit un chemin de sagesse qui se dévoile.

 

Mes meilleurs vœux à tous et chacun

 

Jean-Loup Dujardin 

Animateur de la Fédération

des Hauts de Seine  

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 18:22

Les 29 et 30 novembre 2008 se tenait notre congrès fondateur, qui voyait La Gauche Moderne  passé du statut de club de réflexion au statut de Parti Politique. Au cours des cinq années écoulées, notre parti s’est installé dans le paysage politique.

 

Et,  chaque fois :

 

que nous avons explicité notre spécificité, 

que nous avons  fait connaître notre particularité,

que nous avons précisé notre différence,

que nous avons fait entendre nos idées,

que nous avons affirmé   que nous étions des sociaux libéraux dont le choix  politique reposait entre autres  sur l’égalité, l’équité, la solidarité.

 

Nous avons systématiquement été, écouté, reconnu et respecté.

 

Dans notre cheminement :

nous avons  participé à la tentative de création d’une confédération nommée ARES,

nous avons décidé de nous adosser au Parti Radical Valoisien. Et, il nous faut reconnaître que nous avons été particulièrement bien accueilli. Beaucoup de nos amis voyant peut être (dans les années à venir)  en La Gauche Moderne un outil de recomposition de  la famille des radicaux.,

nous avons été l’un des partis fondateurs de l’UDI

 

En ce qui concerne ce dernier point, il nous faut savoir éviter la langue de bois et reconnaître que notre positionnement politique n’est que peu ou prou accepté et a fortiori reconnu.

 

Je n'aurais pas la cruauté de m'appesantir sur les quelques cacophonies que donne parfois a entendre l’UDI. Certes, « les vérités ne blessent que ceux qui veulent les ignorer », mais revendiquer systématiquement une appartenance à Droite ne permet que difficilement d’offrir une autre voie.
L’alternance politique
à laquelle aspire nombre de nos concitoyens se veut dépasser les clivages Droite / Gauche. Le Centre que nous devons de construire se doit d’être Libre et Indépendant et de proposer aux Français un autre projet de société.

 

Un projet républicain, qui sache prendre en considération notre monde en mutation. Un projet républicain qui s’ouvre sur un monde de réappropriation de valeurs et de repères solidaires. Un projet républicain, qui change nos façons d’agir individuellement et collectivement, en sortant des sentiers battus que nous propose systématiquement la Droite et la Gauche   

 

Nous sommes La Gauche Moderne « parce que nous sommes les héritiers de tous les combats menés pour la liberté et la démocratie, pour les droits de l’Homme et la justice sociale, pour l’égalité des chances et pour la laïcité dans le respect des croyances, pour la parité des sexes, pour un développement respectueux des équilibres naturels et parce que nous croyons que l’Etat doit occuper une position centrale en tant que régulateur et promoteur d’une société juste et solidaire. »

 

Nous sommes La Gauche Moderne  parce que nous avons toujours lutté contre les privilèges, contre toutes les discriminations, contre les pouvoirs arbitraires, contre les excès du marché et parce que nous plaçons l’épanouissement de l’individu au centre de nos préoccupations.

 

 

 Alors, oui, si il est vrai que notre parti  et installé dans le paysage politique, il est tout aussi exact que parfois  nous peinons, dans la polyphonie des composantes de l’UDI à faire entendre notre partition social-libérale. L’UDI se veut être la force politique représentant le Centre, pour ce faire nous devons faire entendre notre voix et ouvrir de nouvelles perspectives.

 

Notre tâche est ardue, nous ne voulons et refusons la« criticature » comme programme. Nous sommes un parti puissance  de réflexion, nous nous mettons à la disposition de toutes les femmes et tous les  hommes de notre pays, et ce bien au-delà des clivages dépassés dans lesquels certains souhaiteraient nous maintenir. Nous sommes La Gauche Moderne : le Centre Gauche de l’UDI

 

En conclusion, charge à nous de savoir faire en sorte que notre entité et identité soient reconnues, de faire entendre notre différence, et d’affirmer notre spécificité sociale - libérale

 

 

 

 

Jean-Loup DUJARDIN

Membre du Comité Permanent

Membre du CN et du BP

Coordonnateur de la fédération 92  

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