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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 11:17



Si son application a permis une détente relative du coût de cette énergie ces derniers mois, le groupe UDI tient à rappeler que les baisses résiduelles intervenues depuis le mois de février compensent à peine la hausse de 2,4% intervenue en janvier, malgré l’application de la nouvelle formule présentée aujourd’hui comme une réforme majeure par le Gouvernement.


Ce dernier s’est donc contenté d’une réforme a minima qui ne règle pas le problème de fond : celui de la connexion du prix du gaz sur les cours du pétrole.


En effet, cette indexation qui date des années 70 n’a plus aucune pertinence aujourd’hui à l’heure où le cours du pétrole ne cesse d’augmenter, tandis que celui du gaz est historiquement bas.


En n’augmentant que de 10 % le poids des prix de marché du gaz dans la formule tarifaire, le prix du gaz reste dépendant à plus de 60 % de celui des cours du pétrole. Nul doute que les tarifs réglementés s’envoleront de nouveau dès que les prix du baril augmenteront significativement sur les marchés.


Il est donc grand temps de déconnecter totalement le prix du gaz de celui du pétrole, comme ne cesse de le demander le groupe UDI depuis un an, notamment à travers l’examen d’une proposition de loi rejetée par le Gouvernement le 22 novembre dernier.


Le groupe UDI le réaffirme avec force : le gaz doit être facturé au prix du gaz !


A défaut, la seule vertu de la réforme de ce matin sera de permettre de lisser mensuellement les hausses du prix du gaz (au lieu d’augmentation trimestrielles), ce qui n’aura pas le moindre impact sur le pouvoir d’achat des ménages.


Mise en place depuis le début de l’année, la réforme de la fixation des tarifs réglementés du gaz a été officialisée ce matin par le Gouvernement.

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 09:37


Jean-Louis Borloo, président de l'UDI, a refusé mardi de se prononcer sur le texte PS relatif à la reprise des sites rentables, s'étonnant cependant qu'il apparaisse aussi tardivement, après la fermeture des hauts-fourneaux de Florange.

"D'abord, il faudrait que je la voie", a éludé sur i-Télé le dirigeant centriste au sujet de cette proposition de loi déposée mardi à l'Assemblée nationale.
Observant que cette proposition était "la même que celle qui avait été présentée il y a un an et demi", sous la précédente mandature, il a dit ne pas comprendre "pourquoi elle n'a pas effectivement été présentée tout de suite à l'Assemblée".
"Ce que j'aurais aimé, c'est qu'il y ait une position sur la sidérurgie française", a-t-il poursuivi, rappelant son appel à "une intervention publique provisoire sur la sidérurgie au sens large".
Le patron de l'UDI, qui a rencontré l'intersyndicale d'ArcelorMittal il y a deux semaines, s'est par ailleurs inquiété de la coupure existant, selon lui, entre les salariés de sites comme Florange et celui qui, encore candidat à l'Elysée, promettait une loi obligeant des groupes à céder des unités de production.
"Je pense que le président ne se rend pas compte qu'il y a 18 millions de personnes qui s'estiment victimes de sa politique", a-t-il lancé.
Ces personnes, "ce sont des travailleurs français: c'est les neuf millions qui bénéficiaient des heures supplémentaires (...), ce sont ceux qui sont plantés sur l'intéressement, ce sont les gens du secteur du bâtiment, trois millions, et ce sont les gens des services à la personne", a détaillé M. Borloo.
Selon lui, "la crise de confiance, elle n'est pas au fond tellement sur les problèmes budgétaires majeurs", mais avec ces salariés "qui ont probablement assez majoritairement voté pour lui (M. Hollande) et qui ne comprennent pas que c'est eux qui sont les plus abîmés depuis un an".
tl/sm/er


SOCIAL-INDUSTRIE-FLORANGE-PARTIS-UDI - 30/04/2013 19h19 - AFP


PARIS, 30 avr 2013 (AFP) -
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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 15:29


Les déclarations du candidat François Hollande prétendant renégocier le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance signé par vingt-cinq pays, avaient suscité à l'époque une grande incompréhension partout en Europe et notamment en Allemagne.


Ce gage impossible donné par le candidat socialiste à son aile gauche durant l'élection présidentielle explique, sans pour autant la justifier, la cacophonie actuelle de la gauche française. Les difficultés politiques de notre gouvernement et de sa majorité accentuent le phénomène.

 

C'est en effet comme cela qu'il faut interpréter la lamentable polémique actuelle :trouver un responsable aux difficultés de la France.

 

Président du l'Union des démocrates et indépendants (UDI), classée au centre droit, grande héritière de la construction européenne et de l'amitié franco-allemande, je peux vous affirmer que de telles déclarations n'engagent que leurs auteurs.

 

Elles n'engagent ni le peuple français, dans sa très grande majorité, ni les parlementaires français, qu'ils soient du centre bien entendu mais aussi droite et de gauche. Aussi, je tiens solennellement à vous présenter nos excuses pour de telles prises de position.

 

Les pays ont des cycles. L'Allemagne, il y a moins de quinze ans, devait faire face à de très grandes difficultés et a su prendre des mesures adaptées. A son tour, la France connaît un cycle extrêmement difficile, mais, au-delà des contingences politiques à court terme, saura se redresser.

 

Il est indispensable de définir un nouveau projet européen, et d'ici le sommet de juin une nouvelle plateforme économique européenne. Préalablement, j'ai demandé au président de la République française de s'exprimer de toute urgence afin de sortir de cette incroyable et malsaine cacophonie. Je crois tout aussi indispensable qu'il vous rencontre urgemment.

 

Veuillez croire, madame la chancelière, en l'expression de ma très haute considération.

 

 

Jean-Louis Borloo

 

Madame la chancelière,
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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 13:35

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Avec plus de 3,2 millions de demandeurs d’emploi en mars, la cote d’alerte est dépassée. Nous ne sommes même plus dans l’urgence mais face à un risque de catastrophe.

 

Cela fait des mois que nous alertons le Gouvernement par toutes les voies possibles contre une politique de démantèlement et de destruction de l’emploi. Le choc de compétitivité n’a pas eu lieu. Tous les secteurs sont en danger, certains en grand danger  (bâtiment,  efficacité énergétique, services à la personne…) alors qu’ils pourraient être redressés très vite en revenant sur les erreurs commises.

 

L’incompréhension est totale. 


Le Gouvernement est passé de l’inaction politique à l’autisme. Tout le monde, y compris dans la majorité, reconnaît ses erreurs. Il est grand temps de passer  à la décision publique.


Aussi, face à la gravité de la situation, il est nécessaire que le Président de la République  convoque le Parlement en Congrès, en vertu de l’article 18 de la Constitution,  afin qu’il présente personnellement les nouvelles mesures immédiates et  cohérentes qui permettront à la fois de relancer économiquement le pays et de restaurer la confiance. Il appartient désormais au Président de la République de prendre la tête de cette bataille.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 14:04

Le député (UDI) de la Marne Charles de Courson fait partie des 30 députés de la commission d'enquête sur l'affaire Cahuzac. Le but est de faire, non pas la lumière sur ce compte et la provenance des fonds, mais de déterminer « ce que savait le pouvoir exécutif », explique-t-il.

Charles de Courson (UDI) appartient à la commission d'enquête.

Charles de Courson (UDI) appartient à la commission d'enquête.

JACQUES DEMARTHON

Avec 29 autres collègues de l'Assemblée nationale, Charles de Cousron, député (UDI) de la Marne va mener l'enquête sur un volet de l'affaire Cahuzac.

 

Charles de Courson, député UDI de la Marne et 29 autres collègues de l'Assemblée nationale devront passer au crible l'attitude du gouvernement et des services de l'État durant les quatre mois que ce dossier à alimenter la chronique avant l'aveu de l'ex-ministre sur l'existence de son compte en Suisse.

• Quelle commission ?
C'est une commission d'enquête « relative aux éventuels dysfonctionnements de l'action du Gouvernement et des services de l'État entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013 dans la gestion d'une affaire qui a conduit à la démission d'un membre du Gouvernement ». Le 4 décembre dernier est le jour du premier article de Mediapart révélant l'existence présumée du compte bancaire en Suisse de Jérôme Cahuzac. Quant au 2 avril, c'est la date de l'aveu de l'ancien ministre sur son blog.
La commission a six mois au maximum pour rendre ses conclusions.

• Rapporteur ou président ?
Composée de 30 membres, selon la répartition proportionnelle de l'assemblée, cette commission va se réunir « le 15 mai pour élire son président et son rapporteur » éclaire Charles de Courson. « Le PS veut que je sois président et souhaite placer son député Alain Claeys comme rapporteur. Nous voulons l'inverse. Le 15 mai, je serais l'un ou l'autre mais je suis candidat au poste de rapporteur », martèle celui qui s'est taillé une réputation de spécialiste des questions budgétaires.

• Quel rôle ?
« Cette commission n'est pas créée pour régler des comptes mais elle est là pour se substituer aux rumeurs en cherchant la vérité ! », lance Charles de Courson. « Que savait le pouvoir exécutif ? Quand ? Qu'a-t-il fait ? Pourquoi a-t-il mis autant de temps à découvrir la vérité ? Quels sont les éléments qui l'ont troublé et quand ? Des dysfonctionnements du gouvernement, des services public, fiscaux, de la Police judiciaire, des Douanes, des services de renseignement, ont-ils fait perdurer cette situation ? Nous avons tout pouvoir d'investigation sur pièce et sur place, les personnes auditionnées prêtent serment, engageant donc leur responsabilité civile. »

• Et l'origine des fonds du compte suisse ?
« On ne s'intéresse pas au volet judiciaire, c'est le rôle de la justice ! » rappelle le député marnais. « Quant à savoir d'où provenait cet argent, ce n'est pas notre mission ! L'objet de la commission est uniquement ce qui s'est déroulé entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013. Cela ne nous empêchera pas d'entendre Jérôme Cahuzac si nous le décidons. »

Frédéric GOUIS "L'Ardennais jeudi 25 Avril 2013"

 

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 15:57
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23 avril

Le Sénat s’est prononcé lundi 22 avril sur l’engagement de nos forces armées au Mali. Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin, Vice-Président de l’UDI et ancien ministre est intervenu au nom du groupe UDI-UC pour exprimer le soutien des centristes à la prolongation de l’intervention.

Après avoir salué l’engagement courageux de nos soldats au Mali, le sénateur a dressé un premier bilan après plus de 4 mois d’intervention : si les objectifs initiaux semblent atteints, il reste toutefois pour le Mali de nombreux défis à relever.

Le premier défi est d’ordre sécuritaire. Avec 6 000 Français résidant sur le territoire, la question est particulièrement préoccupante. Selon Jean-Marie Bockel, « Si l’offensive terroriste a été repoussée et les villes maliennes libérées, les forces djihadistes n’ont pas pour autant abandonné le combat. » Alors que les premiers soldats français viennent de quitter le pays, les effectifs français devraient être ramenés à 2.000 hommes en juillet et à environ un millier fin 2013. « Ce retrait annoncé doit s’effectuer de manière progressive et concertée, et tenir compte de la situation sur le terrain », souligne le sénateur.

Convaincu que l’action de la France ne peut – et ne doit – pas être la solution ultime, Jean-Marie Bockel affirme que « C’est la coopération régionale entre ces pays, notamment avec l’Algérie, qui pourra permettre de traiter globalement ces défis ainsi que l’accélération du déploiement des forces africaines. »

Le deuxième défi concerne la situation politique. « Les élections présidentielles de juillet prochain constituent la clef de voute pour enclencher un processus politique et conférer une plus grande légitimité au pouvoir civil. La bonne tenue de ce processus électoral est un préalable indispensable à toute solution durable », déclare Jean-Marie Bockel.

Le troisième et dernier défi concerne le développement du Mali. Le sénateur insiste : « L’action militaire française ne se justifiera que si elle permet de créer les conditions d’une véritable politique de développement, prélude à l’établissement d’une sécurité globale. »

« Un retour de la paix et de la stabilité au Mali et dans la région ne me semble envisageable que par une action combinée dans ces trois domaines – sécuritaire, politique et développement. La France a bien évidemment un rôle important à jouer aux côtés de nos amis maliens, mais nous comptons également beaucoup sur l’Union européenne », résume le sénateur.

Enfin, afin d’éviter que d’autres drames comme celui du Mali n’interviennent dans les prochaines années, Jean-Marie Bockel propose de lancer « Un large programme européen en direction de toute l’Afrique, un véritable partenariat Euro-Africain en quelque sorte. Il en va de l’intérêt sécuritaire et économique de l’Union européenne. »

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 10:01
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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 13:13

Jean-Marie BOCKEL, Sénateur du Haut-Rhin, ancien ministre, et vice-Président de l’Union des Démocrates et Indépendants (UDI), suit avec attention les récents développements en République Démocratique du Congo (RDC).

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Alors que la situation sécuritaire et humanitaire reste particulièrement préoccupante dans le pays, en particulier dans le Nord-Kivu, où des véhicules de l’ONU ont été immobilisés par la force, il appelle tous les parties en présence au dialogue et au respect des résolutions des Nations Unies.

Le Conseil de Sécurité a en effet adopté le 28 mars dernier une résolution prévoyant notamment le déploiement d’une « brigade d’intervention » basée à Goma et placée sous le commandement direct du commandant de la force de la MONUSCO, avec pour mission de neutraliser les groupes armés afin de réduire la menace qu’ils représentent pour l’autorité de l’État et la sécurité des civils dans l’est de la RDC.

« L’usage de la force armée par les soldats onusiens, dans le cadre stricte de la légalité internationale et du droit humanitaire, ne peut toutefois représenter qu’un recours ponctuel et transitoire. Aucune solution pacifique et durable ne peut être entrevue sans accord politique », souligne Jean-Marie BOCKEL.

« La signature le 24 février 2013 de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération en République démocratique du Congo et dans la région constitue une première étape. Un mécanisme de suivi national et régional avec les dirigeants concernés doit être mis en place au plus vite » conclut le Sénateur.

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 17:54


A la suite des annonces du Président de la République relatives à la moralisation de la vie publique, Philippe Vigier, Porte-parole de l’UDI, estime que la création d’une Haute autorité chargée de contrôler les déclarations de patrimoine n’est en rien une nouveauté puisqu’il existe déjà, depuis 1988, la Commission pour la transparence financière de la vie politique.

 

Plutôt qu’un effet d’annonce, il aurait été préférable d’apporter des moyens supplémentaires d’investigation et de contrôle à cette Commission afin de prévenir toutes fausses déclarations et dissimulations d’enrichissements illégaux.

 

En outre, pour les membres du Gouvernement, l’UDI souhaite que l’on aille beaucoup plus loin et que chacun d’entre eux prête serment avant sa prise de fonction. Nous aurions également souhaité que le délit de parjure, tel qu’il existe dans les grandes démocraties anglo-saxonnes, soit instauré afin que la crédibilité des principaux acteurs politiques que sont les membres du gouvernement ne puisse souffrir d’aucune contestation.

 

De plus, nous mettons en garde contre les dérives que pourrait engendrer la publicité du patrimoine des responsables politiques. Il n’est pas garanti que cette mesure enraye la spirale de la défiance. Ainsi nous proposons, comme la Commission Jospin, que les déclarations d’intérêts et d’activités soient, elles, rendues publiques afin d’éviter tout conflit d’intérêts préjudiciables à la démocratie.

 

Enfin, l’UDI qui a toujours été attentive à la moralisation de la Finance, soutiendra toutes mesures de lutte contre les paradis fiscaux et de transparence des activités bancaires avec notamment des mécanismes de contrôle, à condition que ceux-ci soient indépendants, réels et mis en place au niveau de l’Union européenne.

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 12:13


Interrogé par i>TELE sur les exigences de transparence patrimoniale qui se font jour dans la foulée de l'affaire Cahuzac, le député centriste a argumenté: "les ministres, les parlementaires sont soumis à des déclarations très strictes" mais la commission à laquelle ils l'adressent "estime qu'elle n'a pas les moyens de contrôle suffisants".


"Il faut qu'elle ait des moyens d'investigation", a demandé l'ex-ministre. "D'abord le parjure : il faut que les ministres soient entendus avant d'être nommés, comme aux États-Unis, qu'ils prêtent serment".


Puis "il faut que cette commission puisse saisir les moyens des douanes, du fisc, voire de la police judiciaire", selon M. Borloo.


Interrogé sur son propre patrimoine, il a rétorqué : "je ne vous le direz pas".
Si une loi passait il le dévoilerait, "évidemment. Mon patrimoine est parfaitement connu !", a-t-il dit, ajoutant: "Il y a 25 ans, j'étais un des avocats les mieux pays du monde disait-on. Je suis parti à Valenciennes, j'ai tout quitté, pour 7.000 F par mois - c'était des francs à l'époque - comme maire".


"Je me suis défoncé pour cette ville", a-t-il poursuivi. "Ma femme a payé parce que je faisais de la politique, elle était journaliste elle présentait le 20H00".


Donc "les leçons de morale des uns et des autres me fatiguent", a tranché M. Borloo, estimant qu'en revanche, "sur les contrôles, il faut être intraitable".


Député et avocat d'affaires - comme il le fut et comme l'est l'UMP Jean-François Copé -  est-ce incompatible ? Réponse de M. Borloo: "Vous pouvez difficilement à plein temps être sérieusement avocat, parlementaire, membre du gouvernement. Ce sujet, il existe".



PARIS, 10 avr 2013 (AFP) -

 

Jean-Louis Borloo, le président de l'UDI, a demandé mercredi que la commission de transparence qui reçoit les déclarations d'avoirs des élus, ait les moyens de mener un travail d'enquête "professionnel et sérieux".

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